Benjamin Griveaux : « Déplacer la gare du Nord, oui, les partiels à Assas, c’est impossible »

Après son audacieuse proposition du week-end, le candidat macroniste à la mairie de Paris a été interviewé par la Pravd’Assas dans le cadre de sa série sur les personnes originales de Paris.

Interrogé sur la possibilité de repousser les partiels lorsque la grève, le CoronaVirus et le blizzard frappent Paris, Benjamin Griveaux s’est tout de suite montré circonspect.

« Autant, proposer de déplacer la gare du Nord coûterait des milliards d’euros, seraient un enfer logistique et ne servirait qu’à un second Bois de Boulogne, autrement dit Central Park mais avec les écureuils remplacés par des rats et les traders par des Brésiliens. Autant je me vois mal proposer de déplacer les partiels. »

Mal à l’aise, l’ancien ministre s’est ensuite épanché sur le sujet.

« Je préfère négocier à la porte de mon ministère avec des gilets jaunes que de faire évoluer la position de l’administration d’Assas. Il vaut mieux perdre sa vie que son temps, au moins la souffrance est moins raide. »

Et au député de Paris de nous glisser que selon des rumeurs, Jean-Marie Le Pen se serait radicalisé non pas durant ses années à l’UNEF mais lorsque Assas l’avait compté absent non-justifié alors qu’il était en Algérie durant les événements.

Au candidat, fataliste, d’ajouter : « De toute manière ça ne sert à rien de travailler, vous devrez en toutes circonstances traverser la rue pour trouver un M2 », pointant alors du doigt la Faco.

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